Si tu doutes encore de moi
Demande au vent qui souffle
Combien je lui parle de toi
Combien ton absence m’étouffe.
Si tu ne sais combien je t’aime
Écoute l’oiseau qui chante
Il te contera toute ma peine
Et mes pleurs, tant tu me manques.
Demande au vent qui souffle
Combien je lui parle de toi
Combien ton absence m’étouffe.
Si tu ne sais combien je t’aime
Écoute l’oiseau qui chante
Il te contera toute ma peine
Et mes pleurs, tant tu me manques.
Si tu n’imagines pas mes pensées,
Interroge donc le soleil,
Pour toi je lui ai demandé de briller
Pour que je sois encore plus belle.
Va voir, au bout du jardin, l’eau
Je lui ai confié mes caresses
Elle te les déposera sur ta peau
Si dans son onde ta main paresse.
Si tu ne crois à mon désespoir
Entends la pluie marteler ta cour
Elle te chante, alors que tombe le soir,
Toute l’ampleur de mon amour.
Si tu ne perçois ma détresse
Vois la profondeur de la nuit
Elle mesure sans maladresse
L’immense abîme de ma vie.
Interroge donc le soleil,
Pour toi je lui ai demandé de briller
Pour que je sois encore plus belle.
Va voir, au bout du jardin, l’eau
Je lui ai confié mes caresses
Elle te les déposera sur ta peau
Si dans son onde ta main paresse.
Si tu ne crois à mon désespoir
Entends la pluie marteler ta cour
Elle te chante, alors que tombe le soir,
Toute l’ampleur de mon amour.
Si tu ne perçois ma détresse
Vois la profondeur de la nuit
Elle mesure sans maladresse
L’immense abîme de ma vie.
Angelina
trop beau