Ce triomphe enivre l’orgueil, la vanité, l’amour-propre, enfin tous les sentiments du moi. Cette perpétuelle divinisation grise si violemment, que je ne m’étonne plus de voir les femmes devenir égoïstes, oublieuses et légères au milieu de cette fête.
Honoré de Balzac Mémoires de deux jeunes mariées 1841
Une Citation sur les sentiments
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