Si un jour j’attrape aux
lèvres quelque gerçures,
quelque brulures.
Que même du vent je devienne
le martyr.
Je ne cesserais de
t’embrasser, je te le jure.
Car c’est l’absence de tes
baisers qui me font souffrir.
Car de trop t’embrasser je
veux mourir.